Smoothie Orange-Fraise-Banane

La voici, la voilà. Ma recette de smoothie que mon chéri aime tant ! C’est avec plaisir que je vous la partage, parce que c’est l’idéal pour toutes vos envies de fruits pendant la journée !

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Ingrédients pour 1litre de jus :
2 bananes
20 fraises découpées en 4
3 oranges à presser
50cl de jus d’orange bouteille ( pour les conservateurs, afin que le jus reste buvable 3 jours )
un peu d’eau ( à votre goût, si vous voulez que ce soit plus ou moins fluide )
1 sachet de sucre vanillé
1 cuillère à café de sucre semoule

Mettez vos fraises équeutées et coupées en 4 avec vos bananes épluchées et coupées en rondelle dans votre Blender. Pressez vos oranges et ajoutez le jus récolté, ainsi que votre jus bouteille dans le Blender et enclenchez votre robot 2 minutes pour mixer le tout.
Ajoutez les sucre, l’eau selon vos envies, mixer 30 secondes, et mettez le tout dans un récipient ( Bouteille d’eau vide par exemple ).
Laissez au frais 1h avant de dégustez ou servez avec un glaçon.

Soyons écolos avec  » Un blog, un arbre « .

Le tout grand des hasards m’a menée sur le site http://www.bonial.fr/environnement/.
L’idée, c’est de faire planter un arbre pour son blog, et ainsi réduire les émissions Co2 que pourrait faire notre blog.
En d’autres mots :

Un blog, un arbre – le principe

Comment un arbre peut-il compenser le bilan carbone d’un blog ?

En participant à l’opération Blog zéro Carbone, vous pouvez facilement réduire vos émissions de gaz à effet de serre : un arbre permet de compenser les émissions de dioxyde de carbone liées au fonctionnement de votre blog. N’hésitez plus, et rejoignez-nous !

Quelles sont les émissions de CO2 liées au fonctionnement d’un blog ?

D’après une étude d’Alexander Wissner-Gross, diplômé en physique de l’université américaine de Harvard, la consultation d’une page web conduit en moyenne à l’émission de 20 milligrammes de CO2, soit 0,02 grammes. Pour un blog avec un trafic moyen (environ 15 000 pages vues par mois), cela correspond à des émissions annuelles de 3,6 kg de dioxyde de carbone. Cette valeur est à remettre en majeure partie sur le compte de la consommation électrique liée à l’utilisation de serveurs et matériels informatiques, et à leur refroidissement, très énergivore.

Comment fonctionne la compensation : 1 arbre = 1 blog !

Combien de CO2 un arbre est-il capable d’absorber ?

Il est difficile de donner une réponse précise et certifiée. La capacité d’absorption de CO2 d’un arbre peut énormément varier, et dépend ainsi de l’essence de l’arbre, de son exposition à la lumière, de la période de végétation, les changements de température dans le milieu, de la quantité d’eau disponible et de la qualité des sols.

Il y a aussi différentes manières de calculer le potentiel d’absorption d’un arbre. Les valeurs usuelles que l’on retrouve vont de 10 à 30kg de dioxyde de carbone absorbés annuellement par un arbre. On sait cependant que dans les premières années qui suivent la plantation, celui-ci ne peut absorber que peu de CO2 en comparaison avec le reste de sa vie. Également, il est admis qu’à partir d’une vingtaine d’années, cette valeur décroit lentement.

La CCNUCC, Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques, a de son côté calculé et convenu de la valeur moyenne de 10 kg absorbés chaque année par un arbre. Petits gestes écolos, pour son opération Blog zéro Carbone, a choisi de rester relativement peu ambitieux sur ces valeurs, en retenant le chiffre moyen de 5 kg par arbre et par an. Ce conservatisme ne peut être que positif !

Macarons : Etape par étape

Après l’article sur la recette et les conseils de réussite pour vos macarons, je vous propose un article qui regroupe les critères de réussite ainsi que les quelques ratages possibles. Apprendre de ses erreurs, ou encore mieux : Réussir du premier coup  ( et à chaque fois ).
J’ai refais un atelier macarons cette après-midi afin de vous montrer les grandes étapes de la préparation en photo…

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Les 10 critères de réussite :

En gros, comment doit être un macaron réussi ?

– les coques doivent être parfaitement rondes
– les coques doivent être parfaitement lisses
– les coques doivent être brillantes
– les coques doivent présenter une collerette en leur base
– les coques doivent revêtir un ton assorti à leur parfum / garniture
– les coques assemblées doivent avoir le même diamètre
– la collerette doit être ni plus ni moins large que la coque
– La couleur ne doit pas avoir  » viré  »
– la ganache doit être visible
– la ganache ne soit pas s’écoule

Ce qui peut vous arrivez lorsque vous faites des macarons :

– Les coques se fissurent : Lors de la cuisson, si il y une présence d’eau ( ou de vapeur avec la cuisson ), vos coques font se fissurer. Pour moi c’est un problème de condensation. Ma solution : Entre-ouvrir très légèrement la porte de votre four pour que la vapeur puisse en sortir.
– Les macarons ne se décollent pas : La cuisson n’a pas été respectée ( en temps et en température ) … 150°, 15 minutes pour des macarons de taille moyenne et vous ne devriez plus avoir de soucis. Je rappelle quand même que chaque four est différent et que certains vont plus ou moins fort, il faut s’adapter au niveau des minutes ( 1 ou 2 de plus ou de moins selon l’intensité de cuisson )
– Pas de collerette : C’est l’un des critères les plus important des macarons, il est donc primordial qu’elle soit présente. Certains vous diront qu’il faut faire croûter, qu’il faut entasser plusieurs plaques de cuisson.. Moi, ma technique est, je vous le rappelle, de mettre une plaque à l’envers au four lorsqu’il préchauffe, et d’y mettre la plaque où l’on aura dresser les macarons directement dessus. La chaleur de la plaque déjà dans le four va  » propulser  » votre coque et donner votre collerette tant attendue…
– Macarons pas ronds : Vous avez probablement mal tenu votre poche à douille lors du dressage. Celle ci doit être droite, la douille contre la plaque avec une pression constante pour avec un joli dôme homogène.
– La couleur de vos macarons à bruni : Le four était trop chaud, où les macarons étaient peut-être trop hauts dans votre four. Vérifiez bien d’être sur chaleur tournante et pas sur grill.

Les photos étape par étape …
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Macarons : Recette, technique et conseils

Chers lecteurs & lectrices,

Ce soir, j’engage un sujet qui va en intéresser plus d’un. Le macaron !
Il est au centre de toutes les convoitises culinaires sucrées et salées, et au centre de mon intention dans cet article.
Je vais vous dévoiler mes recettes, mes secrets de réussite et mes conseils anti-ratage.
J’ai testé environ 5 recettes, plusieurs techniques, plusieurs livres. Certaines ont marché une fois mais pas deux, celle que je vous file à réussi à chaque fois ! C’est une plaisir énorme de les faire avec la quasi-certitude qu’ils seront réussis…

                        

Ingrédients pour les sucrés:
100gr de poudre d’amande
100gr de sucre glace
2x 37gr de blancs d’œufs
100gr de sucre semoule
20 ml d’eau
Colorant au choix

Conseils pour les ingrédients :
Comme pour chaque recette que ce soit en pâtisserie ou autre, la qualité des ingrédients à son importance mais cela à encore plus de sens dans la réalisation des macarons.

– La poudre d’amande doit être obligatoirement très fine, c’est le point principal à retenir pour cet aliment.
– Les blancs d’œufs, personnellement j’utilise le  » Coco vite  » ( Blanc d’œufs liquide en berlingot ). Sinon, des blancs séparés préalablement des jaunes quelques jours à l’avance et conservés au frigo. Vous aurez toujours plus de certitude de réussite qu’avec des blancs frais et séparés minutes.
– Les sucres semoule et glace n’ont pas besoin d’être spéciaux, ou d’une marque particulière.
– Pour le colorant, j’opte pour celui en poudre. Il en faut très peu, c’est un peu plus cher mais ça à une forte coloration avec peu de matière, je trouve ça bien et sur la vision à long terme, ce sera le plus intéressant. On en trouve de plus en plus facilement, ainsi que sur internet dans les sites spécialisés. Je ferai prochainement une liste de bonnes adresses pour vos commandes sur le net.

Conseils pour les accessoires nécessaires à la réalisation des macarons :
– Une balance est impérative pour vos macarons. Les recettes sont précises et au gramme près. On ne peut pas se permettre des  » à peu près  » pour ce type de recette.
– Un mixer qui vous permettra de réaliser un  » tant pour tant  » bien fin ( sucre glace et poudre d’amandes ), ou un tamis pour réussir à tamiser le mélange pour le rendre plus fin. Après avoir essayer plusieurs fois avec le tamis, je me suis rendue compte qu’il n’y a rien de tel que le robot mixer pour avoir le mélange idéal.
– Un four, que vous maitrisez pour un temps de cuisson respecté.
– Une taque de cuisson, un poêlon et une sonde à sucre ( thermomètre à confiserie )
– Une plaque de cuisson et une autre plaque ( style  » lèche-frite », fourni avec votre four normalement ).
– Une feuille de cuisson silicone ou en papier sulfurisé pour tapisser la plaque de cuisson.
– Un robot de cuisine ou un fouet électrique. J’utilise le robot, qui permet de monter les blancs puis de laisser tourner pour refroidir la meringue pendant qu’on prépare d’autres choses. Mais sinon, le fouet traditionnel est tout à fait convenable !
– Une Maryse ou spatule en silicone qui va vous permettre de « macaronner » la préparation ( c’est à dire incorporer correctement la meringue au reste du mélange, l’étape cruciale pour la réussite de vos macarons ! )
– Une poche à douille et une douille lisse.

Réalisation des macarons :
Commencez tout d’abord par préchauffez votre four à 150°. Ni plus, ni moins. Au fur et à mesure de la recette il faut respecter chaque étape pour que ça fonctionne. Mettez-y votre lèche-frite ( ou une autre plaque de cuisson ) à l’envers dans le four.
Réalisez le tant-pour-tant en mixant au robot, comme moi, ou alors en tamisant, le sucre glace et la poudre d’amandes. Si vous le faites au robot, 30 secondes suffisent ( l’amande se transforme rapidement en huile, il ne faut donc pas la laisser trop longtemps dans le robot mixer ). Ce tant-pour-tant est la base de votre préparation.
Dans un poêlon, faites chauffez sucre semoule et eau sans mélanger. Le sirop doit atteindre 118° pour être utilisé dans la meringue italienne. La facilité du robot ménager entre en jeu ici, puisque pendant que le sirop se met à température, 1x 37gr de blancs d’œufs doivent être montés en neige ferme ( mais pas grumeleux ). Dès que les blancs sont faits et que le sirop est à 118° ( l’idéal c’est que ce soit au même moment ou presque ), incorporez très doucement le sirop à la meringue à vitesse moyenne et une fois tout le sirop incorporez, battez à pleine vitesse jusqu’à refroidir la meringue italienne pour qu’elle soit à peine plus chaude que votre doigt. Ajoutez votre colorant au choix pendant les derniers battements nécessaires au refroidissement de la meringue.
Versez le reste des blancs ( 37gr ) dans la meringue et battre quelques secondes sans faire monter ces derniers blancs. Il faut juste que ce soit homogène. Si vous travaillez au robot, enlevez le fouet et mettez le  » K « . Ce sera la robot qui s’occupera du macaronnage. Mettez le mélange de tant-pour-tant et battez à vitesse moyenne 2-3 minutes. Si vous travaillez avec un fouet électrique, utilisez votre Maryse (  spatule en silicone ) pour macaronner en effectuant un mouvement qui  » soulève  » la masse assez délicatement.
Dans les 2 cas, finissez le travail à la Maryse pour avoir quelque chose de vraiment homogène.
Préparez votre poche à douille avec votre douille lisse ( pas trop petite ), mettez-y de la préparation et dressez de petits dômes sur votre papier sulfurisé ou sur votre tapis silicone qui auront été mis à l’avance sur votre plaque de cuisson. Je rappelle que le lèche-frite ou l’autre plaque mise à l’envers à déjà été mise au four pendant qu’on le préchauffait. Essayez d’être totalement perpendiculaire pour dressez vos coques, afin qu’elles soient ronde et lisse. Je n’utilise pas la technique du  » croûtage  » que beaucoup conseillent. Il est préférable de cuire plaque par plaque au four, il y a toujours des petits soucis si il y a plusieurs plaques au four. Ne dressez pas à l’avance des coques si vous ne les mettez pas au four directement, laissez la préparation dans la poche à douille retournée à l’envers dans un récipient ( pour éviter que le mélange coule ).
Enfournez pour 15 minutes ( macarons moyen, de taille normale comme dans le commerce ).
Laissez séchez les coques sur une grille avant de les utiliser.

J’espère que j’ai été claire, je vous proposerai plusieurs goûts pour les ganaches.
Bon amusement !

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La Saint-Valentin, une fête chocolatée !

L’amour, le bonheur, le plaisir… tout ça, c’est un peu ce qu’on ressent avec une barre de chocolat. Bon, bien sur il n’y a pas que ça mais tout de même. Ma vision de l’Amour et du chocolat étant étroitement liée, pour la Saint-Valentin, je réalise ( encore une fois ) mes moelleux au chocolat.
En réalité, j’avais initié la recette le 14 février 2012 ( et refaite à plusieurs reprises depuis cette date ), mais en bonne amoureuse, je la ressort en toute simplicité cette année.
La recette me vient d’un livre de cuisine que mon papa m’avait prêté, rien n’a été changé et jamais je n’y toucherai. C’est un diamant brut qu’il faut laisser….brut.

Ingrédients :
100gr de chocolat de couverture
2 oeufs
37gr de farine
75gr de beurre
75gr de sucre

La réalisation est très rapide, mais se fait un peu en avance ( du moins c’est ce que je conseille ! )
Faites fondre au bain-marie ou au micro-ondes ( comme moi ) beurre et chocolat cassé en morceaux.
Attention à ne pas faire  » cuire  » ceux-ci…
Ajoutez à ceux-ci le sucre, battez. Dans un petit bol à part, il faut légèrement battre les œufs à la fourchette. Ajoutez-les au mélange et battez de nouveau.
Incorporez la farine en pluie afin pour éviter les grumeaux.

La préparation est déjà terminée ( montre en main ça vous à prit 5 minutes tout au plus… vous comprendrez que vous allez refaire cette recette plusieurs fois ! ). Versez dans votre moule ou dans vos ramequins la pâte au 3/4 environ car elle montera à la cuisson et formera un joli dôme au cœur coulant. Personnellement, je glisse au centre un tout petit morceau de chocolat pour le côté encore plus gourmand/fondant, mais je ne le fais pas à chaque fois, ou alors j’alterne avec un cœur de framboise ( framboise surgelée c’est l’idéal ).
Mettez vos moules au frigo pour minimum 1h le temps que la préparation redurcisse ( c’est aussi ce qui donnera la réussite de l’effet crousti-fondant ). Moi je fais en sorte que ça soit faire plusieurs heures à l’avance, voir un jour avant.
La cuisson est elle aussi très rapide, et se fait au moment de la dégustation. Préchauffez votre four sur 210° et enfournez pour 12 minutes ( C’est impératif de respecter température et durée de cuisson ! ). Sortez du four, laissez posé 5 minutes et démoulez doucement pour de pas éclater votre fondant. Servez encore chaud avec du sucre glace, un coulis de fruits rouge, une crème anglaise, une boule de glace vanille….

Bon appétit !

Laura pour Cooking’You